Séminaire stratégique BENOR «Quo vadis ? » 2025
Une marque connue et reconnue
Une chose est sûre, la marque BENOR ne date pas d’hier… Créée dans les années 50, la marque BENOR a toujours su s’imposer comme une attestation fiable de conformité aux réglementations en vigueur. En effet, en tant que marque de certification volontaire, elle garantit, grâce à des contrôles internes et externes indépendants, la conformité des produits aux normes et prescriptions techniques, ainsi que leur aptitude à l’emploi. C’est pour cette raison que la marque BENOR se retrouve très souvent, et de plus en plus, imposée dans les cahiers des charges, aussi bien privés que publics. Gérée collectivement par l’ensemble des acteurs du secteur (producteurs, utilisateurs, architectes, donneurs d’ordres publics, assureurs, organismes de certification et de contrôle…), la marque BENOR offre sécurité, fiabilité et simplicité, en assurant un haut niveau de qualité, de stabilité et de durabilité des ouvrages.
« Quo vadis, BENOR ? »
Telle était la question de départ du séminaire 2025 de l’asbl BENOR, qui s’est tenu comme chaque année à la fin du mois d’août. Après l’important succès de l’édition 2024 dédiée à l’Échelle de Performance CO2 (plus de 170 participants !) , un système de certification et un outil de management pour les entreprises visant à réduire leurs émissions de CO₂, il était temps pour l’asbl BENOR de revenir à ses fondamentaux avec un séminaire à portée stratégique.
Battre le fer tant qu’il est chaud
Ce label de conformité connu et reconnu, cette popularité et utilisation grandissantes, il faut en prendre soin. Les administrateurs de l’asbl BENOR ont estimé qu’il était temps de se remettre autour de la table afin de débattre du futur de la marque BENOR. Cette dernière doit effectivement pouvoir suivre les évolutions sociétales, économiques et technologiques, pour continuer à asseoir sa légitimité.
Un exercice stratégique fructueux
Les membres de l’asbl se sont alors donnés rendez-vous à Namur pour un exercice stratégique alliant présentations, réflexions et autres débats profonds. Avec l’ouverture d’esprit comme leitmotiv, toutes et tous ont pu exprimer ce qui les unit, leurs objectifs et leurs convictions, tout en abordant en toute transparence certains points sensibles. L’objectif était clair : façonner, ensemble, l’avenir de la certification BENOR.
Guidés par deux modérateurs motivés et motivants, les participants ont d’abord été chaleureusement accueillis par le président de l’asbl BENOR, Didier Van de Velde, qui a rappelé l’importance de leur présence et de leur participation à un tel exercice. Ensuite, les participants ont été briefé sur les modalités de l’atelier et les finalités à atteindre : développer une question-clé, établir des lignes directrices auxquelles une perspective d’avenir doit répondre et dresser des principes pour évoluer efficacement, en toute transparence.
Après ceci, Messieurs Didier Van de Velde (président de l’asbl BENOR), Hervé Camerlynck (Directeur général de FEBELCEM et administrateur de l’asbl BENOR) et Benny De Blaere (président de la Commission d’Avis Techniques de l’asbl BENOR) ont successivement pris la parole pour présenter avec habileté leurs ambitions et priorités pour le futur de « BENOR ».
Les participants ont ensuite été répartis en six groupes mixtes pour un travail de réflexion et d’analyse plus approfondi. Les résultats de ces discussions ont ensuite été mis en commun en session plénière et s’il y a une chose à retenir, c’est que les objectifs de l’exercice ont été entièrement atteints. Les rapports témoignent effectivement que les membres de l’asbl BENOR sont sur la même longueur d’ondes, traçant un avenir (encore plus) prometteur pour la marque et l’asbl BENOR. Tous sont convaincus que la pérennité de la marque BENOR passera nécessairement par l’union des forces de chacun, dans une approche transparente et pragmatique de tous les instants.
Après une matinée intense et très productive, les participants ont repris des forces autour d’un bon lunch, permettant de renforcer davantage leur cohésion dans le cadre relaxant du bord de Meuse namurois.
Alors, « Quo Vadis, BENOR ? »… maintenant c’est clair !